Ben Bilocq

Lors de la première de film de Nitro qui avait lieu à Montréal, SnowboardQuebec.com en a profité pour avoir une entrevue avec un bon rider québécois qui a percé le marché du snowboard international. Nul autre que monsieur Ben Bilocq!

Quand es-tu tourné « pro » environ, et qu’est-ce que cela à changer pour toi à ce jour ?

Les changements ont été très graduels donc tout changent mais rien en même temps. C’est ma vie tout simplement.

As-tu encore la chance de rider très souvent avec ta gang de chumys du coin de Québec ? Si non, est-ce que ça te manque beaucoup ?

C’est arrivé le printemps dernier pour la première fois en genre 4 ans. C’était sick!

Nomme-moi une des plus belles choses que tu as vues dans un voyage de snowboard ?

La neige est toujours aussi belle partout dans le monde.

Pratiques-tu un art comme la peinture ou la musique par exemple ? Si non, lequel aimerais-tu essayer un jour ?

J’aimerais avoir un côté artistique mais…ce n’est pas mon fort.

Dans quel événement ou compétition québécoise te verra ton cette saison ?

Snowmission!

Qu’est-ce que tu aimes de la couleur « noir » ?

Simplicité

Parle-nous ton nouveau board, ton pro-modèle… À qui il s’adresse et pourquoi tu l’aime ?

Il s’adresse au jeune qui recherche un bon jouet pour l’hiver.

Où crois-tu que les jeunes devraient apprendre à rider ? Libre dans la rue ou dans un club dans une station?

À l’endroit qui leur permet de rider le plus souvent possible, peu importe où.

Qu’est-ce que tu aimes le plus du snowboard au Québec ?

On a les meilleurs riders au monde et on est tous amis.

— Question des membres SBQ —

Considères-tu le snowboard comme un travail maintenant que tu es pro ?

Un peu mais je préfère me dire que je suis en vacance à l’année!

As-tu un autre emploi (gagne pain) ?

J’essai de travailler un peu l’été pour rester occupé

Préfères-tu l’ouest canadien ou le sud-ouest américain ?

L’Ouest canadien, sans aucun doute.

Comment on se sent après avoir gagné le « Bearics – Game of Shred » contre Jo Sexton ?

Ha! Ha! Ha! Je sais pas, Joe est un chum. C’était pas comme gagner la Coupe Stanley.